• Histoire de la littérature française au XIXe siècle : histoire littéraireHistoire de la Littérature en France au XIXe siècle

    Il situe les différents mouvements du XIXe siècle et résume assez bien l'ensemble de l'histoire littéraire : naissance, contexte, poétique du mouvement, historique...

    A la fin de chaque profil vous pouvez trouver un lexique avec qq mots et sa définition.

    Attention : certains ne sont pas toujours conseillés.

    Il reste un bon outil de travail et d'aide pour l'étudiant.


     

    Un profil sympa, simple et précis qui permet de vous donnez les romans clés de la littérature française. Il donne un bref aperçu de l'histoire : contexte, qq repères biographiques, le résumé de l'oeuvre et qq pistes d'analyses.

     


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  • Corneille, Pierre (1606-1684)

    Son métier est d'abord d'être avocat, même s'il possède déjà une longue expérience du théâtre.

    Ses débuts de dramaturge, il a écrit 10 pièces.

    6 d'entre elles sont des comédies :

    Mélite (1629-1630)

    La Veuve (1631-1632)

    La Galerie du Palais

    La Suivante (1632-1633)

    La Place Royale (1633-1634)

    L'Illusion comique (1635-1636).

    Toutes relatant les rivalités sentimentales de jeunes gens découvrant l'amour, et toutes ont été accueillies par le public.

    Il écrit une pièce Médée (1634-1635), une tragédie très vite oubliée.

    Il se lance également dans l'écriture de Tragi-comédies :

    Clitandre (1630-1631)

    Cid (1637)

    Puis, P. Corneille s'engage dans une nouvelle voie avec l'écriture d'

    Horace qui aborde la tragédie historique et politique.

    Cinna


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  • Aubigné, Agrippa d' (1552-1630)

    Ecrivain qui déborde sur le XVII° siècle (avec la conception du Baroque) mais également auteur, poète du début du XVIII° siècle (Siècle des Lumières).

    -Activité Intellectuelle Précoce. Aspect complet de la figure de l'homme. Préfigure le XVII°s. Personnage qui s'est illustré à 2 titres :

    par sa vie professionnelle : vie politique, engagement dans le combat, un homme de guerre...grade général. Il s'est illustré dans des Combats animés dans les Guerres de religion (Guerres Civiles).

    * par sa vie poétique : homme qui avait été formé à la poésie.

    -Sa mère meurt en couche et va ainsi développer chez lui une sensibilité très vive. (phénomènes étranges, apparitions...) Il était très impressionnable.

    -Education Intellectuelle très vive également. A 6 ans il lisait 4 langues. A 7 ans 1/2, il traduit un dialogue de Platon.

    -En 1560, son père l'emmène à Paris pour la continuation de ses études. Ils passeront par Ambroise ce jour là. Il voit alors des pendus (des conjurés protestants) qui lui procureront une grande émotion.

    -Plus tard, il souhaite poursuivre des études de Mathématiques. A lyon où il y fait ses études, on l'initie aux méthodes de Spritisme, au milieu ésotérique et alchimique.

    -En 1568 il s’engage dans les Armées Protestantes et participe à la deuxième guerre de religion. Puis plusieurs autres batailles comme celle de Jarnac.

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    [1571-1573] né une idylle entre lui et Diane Salviati, nièce de la Cassandre que chantait Ronsard. Agrippa d’Aubigné va alors composer des poèmes d’amour (Stances, odes…) : Recueil Printemps.

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    -Se rend à Paris pour le mariage d’Henri de Navarre et échappe à la « Bataille de la Saint Barthélemy ». Les Tragiques sont ponctués de Visions.

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    -Rupture avec Diane et s’engage alors dans les Troupes du futur d’Henri IV. Il y verra le meilleur atout pour son combat.

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    -Bataille, Nouvelle Blessure, fait venir un Juge ( 1577 ) et lui dicte les premières clauses des Tragiques. On voit alors apparaître de L’Ordre Judiciaire. Ambition de faire de cette œuvre un témoignage authentique. S’inscrit dans une continuité d’écriture (Sainte).

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    -1589 : Poursuite de sa vie de combat.

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    -1593 : Désapprouve l’Abjuration d’Henri de Navarre et va devenir « l’Ame » du Parti Protestant. Refus de tout compromis Royal et ecclésiastique. S’ancre dans la résistance.

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    -1598 : commence à travailler sérieusement aux Tragiques. Et entreprend une autre grande œuvre :

    à Histoire Universelle : Ambition de raconter son histoire temporelle de son temps.<o:p></o:p>

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    -1607 : Il fait échouer le projet « Union des Eglises ».

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    -1614 : reprend les combats (sous Louis XIII).

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    -1616 : Première édition des Tragiques qui paraît de manière anonyme.

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    -1618 : Publication du premier Tome Histoire universelle. <o:p></o:p>

    -1620 : Histoire Universelle est condamné. Il doit alors s’enfuir à Genève.

    -1621 : Publie des Pamphlets.

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    -1623 : deuxième édition des Tragiques et signé cette fois.

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    -1624 : activité militaire

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    -1630 : Meurt près de Genève.

    C’est un homme qui s’est engagé à tous les niveaux avec ses contradictions. Forte éducation littéraire et scientifique. Homme sens du concret, loyal. Spiritualité épanouie. Chrétien convaincu. Connaissance en théologie nette et un artiste. Un Maître en poésie. Se revendique comme un Disciple de la Pléiade.

    Parole Vive, forte avec du Style.


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  • Quelques Notions à savoir :

    Les Muses : symbole d'inspiratrice pour un auteur, un poète.

    Romantisme : -intérêt pour la nature

                            -l'émotion est la règle

                            -exaltation du moi et du je

                            -exaltation des grds sentiments des héros (liberté, passion amoureuse, mélancolie...)

                            -refus des règles de création littéraire.

    Mouvement de la phrase : les 4 formes de phrases : déclarative, interrogative, impérative, exclamative.

    Utilité du drame : émouvoir pour instruire.

    Récurrent : qui revient, qui réapparait, se reproduit. Répétition.

    Rythme Ternaire : composé de 3 éléments, temps divisible par 3.


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  • I. Les Figures de la ressemblance

    Elles reposent sur le rapprochement de 2 réalités similaires :

    1/La comparaison : mise en relation, à l'aide d'1 mot de comparaison, de 2 réalités ( le comparant et le comparé) appartenant à 2 champs sémantiques différents. "Mon esprit est pareil à la toupie qui succombe..."

    2/La Métaphore : substitution ou accolement, dans le cours d'1 phrase, d'1 mot à un autre ot situé sur le meme paradigmatique. "La Nature est un temple..."

    3/La personnification : assimilation métaphorique d'une chose concrète à un être vivant.

    4/L'allégorie : image résultant de la représentation d'un concept par un être imaginaire, le plus souvent animé. (La Justice, la Fortune...)

    II. Les Figures du voisinage

    Elles jouent sur l'association de réalités qui se trouvent ordinairement dans le même contexte.

    1/La métonymie : remplacement d'1 substantif par un autre substantif qui lui est ordinairement associé sur l'axe syntagmatique du discours. (Boire un verre, être second au violon dans un orchestre...)

    2/La synecdoque : métonymie dans laquelle le terme propre et le terme figuré se trouvent dans une relation d'inclusion. (Une voile pour un navire...)

    3/La périphrase : expression développée permettant de désigner une réalité sans la nommer précisément mais en indiquant certaines de ses caractéristiques.

    4/L'euphémisme : expression adoucie d'une formule directe considérée comme choquante.

    5/L'antiphrase : expression d'une idée par son contraire ; procédé souvent ironique.

    6/Le pléonasme : redondance de termes désignant la meme réalté. "Je l'ai entendu de mes oreilles."

     

    III. Les figures touchant à l'ordre des mots

    1/L'inversion : inversion de l'ordre dans lequel apparaissent normalement les termes d'une phrase.

    2/Le chiasme : répartition croisée de 4 termes, mettant en symétrie des éléments de même nature ou de même fonction syntaxique.

    3/Le parallélisme : mise en correspondance 2 à 2 de termes de meme nature ou de meme fonction.

     

    IV. Les Figures de construction

    Elles touchent à la syntaxe des phrases.

    1/L'asyndète : absence de coordination entre les éléments de meme niveau syntaxique ; elle peut être au service d'une énumération.

    2/La polysyndète : utilisation répétée de la meme conjonction de coordination devant des éléments de meme niveau syntaxique.

    3/L'ellipse : suppression de certains éléments d'une phrase pour la rendre plus ramassée et plus frappante.

    4/L'apposition : Nom ou Groupe Nominal se juxtaposant à un autre pour en développer le sens.

     

    V. Les figures du lexique

    Elles portent sur le choix d'un mot ou d'1 série de mots.

    A. Figures touchant à l'ordre des mots.

    1/La répétition : reprise d'un mot ou d'1 grpe de mots à l'intérieur d'une structure donnée.

    2/La gradation : série de plusieurs termes ayant mem nature et meme fonction, et exprimant la meme idée de manière de plus en plus forte.

    3/L'antithèse : rapprochement, à l'intérieur d'une structure syntaxique binaire et équilibrée, de 2 termes de meme nature qui s'opposent sémantiquement.

    4/L'oxymore : (ou alliance de mots) combinaison en un syntagme unique de 2 termes antithétiques.

    B. Jeux sur les mots n'impliquant pas d'arrangement syntaxique.

    5/Le néologisme : vocable nouveau, créé souvent par dérivation ou par composition, visant à être frappant ou humoristique.

    6/L'archaïsme : utilisation d'1 mot ou d'une tournure tombés en désuétude.

    7/L'étymologisme : utilisation d'un mot dans son sens étymologique.

    8/Le polyptote : proximité dans le discours de plusieurs formes d'un meme mot.

    C. Figures ressortissant à des jeux phonétiques

    9/L'assonance : retour d'une sonorité vocalique à intervalles rapprochés.

    10/L'allitération : retour d'une sonorité consonantique à intervalles rapprochés.

    11/L'onomatopée : mot imitant par sa forme sonore la réalité qu'il désigne.

     

    VI. Les figures du contenu sémantique

    Ces procédés correspondent à une manière particulière de présenter une pensée ou un récit. Ce sont des procédés "à large portée".

    1/La litote : expression atténuée d'une idée destinée par là meme à la faire ressortir.

    2/L'hyperbole : expression exagérée ou amplifiée d'une idée ou d'1 fait.

    3/Le lieu commun ou poncif : idée banale et rebattue.

    4/Le cliché : expression rebattue et figée.

     

    VII. Les figures de l'organisation du discours.

    La présentation particulière de la pensée tient à son insertion ds le cadre général du dixcours.

    1/La réticence : interruption ostensible du discours, destinée à éviter d'exprimer une idée qu'on veut taire, tout en la laissant deviner.

    2/La digression : changement temporaire de sujet ds le cours d'un récit ou d'1 discours.

    3/L'hypotypose : description précise et riche qui met sousles yeux du lecteur l'objet ou la scène décrite.

    4/La citation ou la référence à des écrits ou production antérieurs :

    -l'allusion : référence implicite mais claire à une oeuvre antérieure ou à des éléments culturels notoires.

    -le pastiche : oeuvre originales composée ds le style d'1 autre artiste.

    -la parodie : oeuvre ou passage imitant sur un mode humoristique une autre oeuvre, le style d'1 auteur ou un genre littéraire.


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